Que se passe-t-il au niveau l’enseignement au Togo ? Après avoir sanctionné Bouraïma Naboudja le 29 janvier dernier, Gilbert Bawara, ministre en charge de la fonction publique, a annoncé le 11 février dernier, la mise à pied d’un mois avec une privation de rémunération à l’encontre d’une douzaine d’enseignants.
Il s’agit entre autres de :
-Alakou Kossi n° mle 059307-D ; -Amaglo Yaovi Etsè n° mle 085618-L ; -Awadi Arouna n° mle 077819-V ; – Degbevi komlan Tchogbalé n° mle 077492-W ; -Gbemou Selom Yao n° mle 085251-D ; -Gnama Kossi n° mle 072237-F ; -Kpandjale tchapou n° mle 073265-T ; -Mokli tsevi n° mle 067950- G ; -Nane Etsevi pierre n°mle 083860-N ; -Samawla Assah n° mle 085817-T ; -Tchohlo komi n° mle 0512217-k ; -Tsonya Séna kodzo n° mle 051275-V
Il est reproché à ces vaillants enseignants, la diffusion de fausses informations sur les médias et les réseaux sociaux, un appel à la cessation des activités pédagogiques dans les établissements scolaires en dehors du cadre légal.
Le ministre dans son relevé évoque aussi l’outrage aux autorités en charge des enseignants primaire, secondaire, technique et l’artisanat en violation à des règles d’éthique et de déontologie de la fonction publique suivant les dispositions de l’article 157 du statut général de la fonction publique en vigueur.
Depuis quelques jours, les journalistes et les enseignants sont dans le collimateur de Faure Gnassingbé et son pouvoir.
Il est clair que les dirigeants togolais jouent dans l’intimidation et l’exercice de la force.
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